26 juillet- Les mots d'un autre

Aujourd'hui, j'ai envie de partager quelques phrases touchantes de Jean-Claude Izzo:


"On se satisfait toujours de moins. Un jour, on se satisfait de tout. Et on croit que c'est le bonheur."

"Se mettre en règle avec la vie, c'était se mettre en règle avec les souvenirs"

"Aimer, c'était sans doute se montrer nu à l'autre. Nu dans sa force, et nu dans sa fragilité. Vrai."

"L'honneur des survivants, c'est de survivre. De rester debout. Etre en vie c'était être le plus fort."

"Je n'ai jamais cru que les hommes soient bons. Seulement qu'ils méritent d'être heureux."

"Le temps est essentiel dans la vie d'une femme; il est réel pour elles"

"C'est dans les moments de malheur que l'on redécouvre qu'on est un exilé"

"Comprendre est une porte qu'on ouvre, mais on sait rarement ce qu'il y a derrière"

"Je n'avais jamais su me confier. Au dernier moment, je me repliais dans le silence."

"La poésie n'a jamais répondu de rien. Elle témoigne c'est tout. Du désespoir. Et des vies désespérées."

"Aimer, c'est ça. Cette possibilité de perdre"

"Je n'en attendais plus rien de la vie. Je l'avais juste envisagée pour elle-même un jour. Et j'avais fini par l'aimer. Sans culpabilité, sans remords, sans crainte. Simplement. La vie, c'est comme la vérité. On prend ce qu'on y trouve. on trouve souvent ce qu'on a donné. Ce n'était pas plus compliqué."

"La douceur du soleil sur mon visage. c'était bon. Je ne croyais qu'à ces instants de bonheur. Aux miettes de l'abondance"

"Tenter d'élever la réalité au niveau de ses rêves"

2 commentaires:

Anonyme a dit…

De l'abondance du coeur...

N./ a dit…

* Oui, tout à fait cela! Vous voici donc en train de dévider la bobine de ce blog et de m'entraîner il y a plus d'un an de cela... le rapport à Izzo demeure.