Au matin le songe a laissé là
Les fantômes des figures
Qu’il a lui-même édifiées
Et il faut se débrouiller
Obscurité barbouillée de clairs-obscurs
Virevolte dans une mémoire
Ensommeillée
Que dis-tu, parle plus fort
C’est moi que tu laisses-là
Devant une maison sans clés
Et qui dois démêler sur mon écheveau
Les moments que je vis
De ceux que je rêve
Au fond, ce sont bien les mêmes
18 juillet- Réveil
Publié par N./ à 00:25
2 commentaires:
"Obscurité barbouillée de clairs-obscurs"
Joli ! Vous avez des trouvailles sensibles.
* Joruri: et vous une capacité à les faire ressortir... Merci.
Enregistrer un commentaire