23 février

Lorsque la pluie fine floute les contours
Apaisant la danse et le tournis des heures
Je vous vois avancer frêle silhouette d’eau
Cette voix de coton où je tapis mes nuits

La neige du matin qui cueille mon sommeil
Embrasent les mots en bribes que vous m'avez laissés
Et vous n'êtes plus qu'un

6 commentaires:

Anonyme a dit…

A pas de loup le silence approche.
Les pétales seuls peuvent faire entendre sa voix.
(Je ne sais pas pourquoi j'ai écris ça, mais c'est dans la dynamique de la lecture du ci-devant texte...)

N./ a dit…

* Ca me plait bien :-)

Safir a dit…

Ta dernière phrase est "Vous n'êtes plus qu'un".
Apparement, je serai celui-là ! :)

N./ a dit…

* Si vous êtes un moine, il y a peu de chances... :-)

Safir a dit…

Toc toc.
A personne...
Oukisson ?

N./ a dit…

* Sont... là, mais moins.