Pour aujourd'hui, pas de prose car trop de rose enlacé par le -p-, et la gueule de bois de ce matin, comme ayant enquillé 85 verres et demi d'une bouteille à 53,3% d'alcool >>> donc aujourd'hui poème vert de gris à défaut de rage.
Le temps passe et il est bien (le) seul
Argente les cheveux
Sillonne le visage
Ourle les yeux
Ankylose les jambes
Et les rêves d’enfant
La bobine des semaines
Se dévide
Evide le cœur
Peau de chagrin
Ou de baudruche
L’Histoire récidive
Et puis la mienne aussi
Longue répétition
D’épisodes en miettes
Masques et accessoires
Mais quand joue-t-on la pièce ?
Je la connais, je l’ai écrite
Le temps passe et il est bien (le) seul
Argente les cheveux
Sillonne le visage
Ourle les yeux
Ankylose les jambes
Et les rêves d’enfant
La bobine des semaines
Se dévide
Evide le cœur
Peau de chagrin
Ou de baudruche
L’Histoire récidive
Et puis la mienne aussi
Longue répétition
D’épisodes en miettes
Masques et accessoires
Mais quand joue-t-on la pièce ?
Je la connais, je l’ai écrite
Sur une fenêtre de verre
Ce n’est pas une blague
Ni une mascarade
Mais puisqu’il faut, il faudra
Tenir en équilibre
Sur l’échine d’une portée
Et des notes en secondes
Laisser des morceaux d’âme
De la taille d’un ongle
Petit pouce
Le temps passe et il est bien le seul
Ne vole ni se suspend
Ne me surprend même plus
Ne se passe rien si ce n’est de commentaires
Se passe surtout de moi
Ainsi de tout le reste
Ce n’est pas une blague
Ni une mascarade
Mais puisqu’il faut, il faudra
Tenir en équilibre
Sur l’échine d’une portée
Et des notes en secondes
Laisser des morceaux d’âme
De la taille d’un ongle
Petit pouce
Le temps passe et il est bien le seul
Ne vole ni se suspend
Ne me surprend même plus
Ne se passe rien si ce n’est de commentaires
Se passe surtout de moi
Ainsi de tout le reste
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