La traversée de couloirs vides
Tunnels humides et noirs
Contraint à se barder
Ne plus parler à voix haute
On perd l’usage des mots
En fil l’intégrité plante
Rive les pieds au monde
Lui seul est bancal
Ne pas mentir
Ne signifie pas dire
Ni soutenir ton regard
Tunnels
Passerelles
Parois mouvantes
Semer des épines
Pour s’agripper
Aux frères d’âme
4 juillet - Sans titre
Publié par N./ à 12:43
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