Lorsque le vin hisse ses notes de résine
Jusqu’aux bords frémissants de mon cœur
Il avive ton absence, floute mon existence
Je voudrais t’appeler pour te dire, te parler
Si encore j’étais sûre que tu saurais écouter
Les mots liquéfiés et les maux en caillots
Je pense que c’est injuste que là
Sous mon sein gauche tu te sois implanté
Aies hissé ton drapeau aux couleurs du désert
Que je n’ai pas mérité de vivre ça
Et je pense que si le vin ne hissait plus ses notes
Partition de désirs et d'ailleurs utopiques avec toi
Il raviverait mon absence et tu disparaîtrais
Ombre, fantôme des possibles, tu t’évanouis déjà
Car je n’oublie jamais qu’avec toi petit prince
Je suis plus seule qu’avec moi
25 janvier- Zut pour rester polie
Publié par N./ à 22:06
1 commentaire:
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